Course poursuite et plouf ! [pv Marissa]

Marissa avait besoin d'air, de respirer. Elle étouffait dans cette maison. Elle c'était toujours bien entendue avec ses parents mais la elle vennait de violement se disputer avec eux. C'était tellement rare. Elle se sentait vraiment mal maintenant. C'est vrai qu'elle n'avais presque jamais contredis ses parents. Mais la c'était trop. Ils voulaient choisir sont avenir pour elle. Et ça, il n'en était pas question. Non, elle ne suivrais pas les traces de sont pére et ne deviendrais pas avocate. Le droit, ça ne la tentait pas du tout. Elle finis par s'éclipser en douce de sa chambre et décida de se rendre au port. Une fois la bas Marissa finis par se rendre compte qu'elle pleurais. Elle avais toujours eu de l'independance et la on voulait la forcer à faire quelque chose et elle ne le supportais tout simplement pas.

Au bout d'une bonne dizaine de minute, elle commencer enfin a arreter de pleurer. Elle se posa, accroupie dans un coin. Les gens ne faisait pas attention à elle et cela l'arrangeait pas mal. Elle ne voulait pas croiser quelqu'un qu'elle connaissait. Elle aurait le droit a une multitude de questions plus hypocrites les unes que les autres. Et ça, elle ne le voulait surtout pas. Cependans, elle vit un jeune homme d'une vingtaine d'année s'approchais d'elle. Il ne semblait pas vraiment être du coin.

Mademoiselle? Est-ce que tout va bien ? Vous avez besoin d'aide?

C'est gentil de me proposer de l'aide mais tout va bien. Ne vous inquietez pas.

Cependans, elle savait très bien qu'il ne la croirait pas. Son maquillage avait du couler et elle devait juste être horrible a voir. Marrisa se dit que c'était rare de voir quelqu'un comme ça, qu'elle ne connait pas venir lui adresser la parole juste pour savoir si elle va bien. Personne ici ne ferrais ça.

Cette jeune femme avait visiblemet l'air déboussolée et perdue, Spencer la sentait fragile et vulnérable, il aurait voulut l'aider mais il ne savait pas comment s'y prendre. Bien sûr il ne pouvait pas la forcer à lui parler si elle en avait pas l'envie mais par expérience il savait qu'il ne fallait jamais laissé quelqu'un seul en pleine détresse. Il s'approcha doucement d'elle et s'assis à côté d'elle, s'adossant au mur et essayant de prendre le moins de place possible, il ne fallait pas qu'elle se sente etouffer.


Si vous préferez que je parte je comprendrais, je ne veux surtout pas m'imposer. Mais ma mère m'a toujours dit que s'il était difficile de parler de ce qu'on ressent avec des gens qu'on connait, c'est plus facile quand c'est un total inconnu.


Du coin de l'oeil il vit la jeune femme s'essuyer les yeux avec sa manche, il fouilla dans son sac et lui tendit un mouchoir.


Ce serait dommage de salir un pull en cachemire, dit-il avec un petite sourire.


Il aurait voulut lui dire toutes les banalités qu'auraient pu sortir n'importe quel psy, mais il ne trouvait pas les mots apropriés, il ne savait pas ce qui pourrait la soulager ou la faire sourire. Il tourna la tête vers le port et se perdi dans la contemplation du paysage.


Vous saviez que 83% de la population américaine est déjà venue au moins une fois en Californie? Moi je n'y suis jamais venu, et je regrette de n'être pas venu plus tôt, c'est vraiment un très bel endroit.


Il aurait pu lui parler de la pluie et du beau temps mais non il lui parlait statistiques, décidement il ne changera jamais.


Désolé je parle trop, mes collègues me le disent souvent. Je m'appelle Spencer Reid.

Marissa essuya les quelques larmes qui coulaient encore avec la mange de son pull en cashemire. Apparament elle n'avait pas était très discrete puisce que le jeune homme lui tendis un mouchoir qu'elle accepta volontier. C'est vrai qu'elle préferais ne pas salir son pull. Surtout que c'est du cashemire. Le jeune homme parlais beaucoup, ce qui malgré elle, la fis sourire. Pas non plus un très grand sourire, juste un petit sourire. Il faut dire que ce n'était pas très difficile de la faire sourire. Elle avait toujours était d'un naturelle joyeux, plein de vie. Marissa aime la vie et la croque à pleine dent. Pleurer, se montrer faible, cela lui arrivait très rarement. On disait souvent d'elle que c'était une battante, car elle faisait tout son possible pour obtenir ce qu'elle voulait. Le jeune homme finis par se présenter. Il s'apellais donc Spencer, ce n'était pas un nom très courant mais ça lui plaisais bien.

Je m'apelle Marissa Cooper.

Elle avait aussi vu juste quand elle c'était dit qu'il n'était pas d'ici. Sans qu'elle ne le lui pose la question il le lui avait dit. La Californie, un belle endroit. Cela dépendait totalement du point de vue des gens. Elle n'était pas spécialement d'accord.

La Californie a un beau paysage, c'est tout ce qu'elle a de bien. Il faut rester ou vivre un petit moment ici pour comprendre que tout n'ai que superficialité. Le paysage en fait partie et aide beaucoup. Ici, il faut être beau, riche et avoir tout ce qui va avec. Faire comme si on a une vie parfaite, une famille parfaite. Que notre monde est toute beau tout rose. Ce n'ai que de la superficialité, si on gratte un peu sous la couche on découvre un tableau tellement différent que sa en est comique.

Marissa ne savait pas vraiment pourquoi elle racontait tout ça à se Spencer. Elle brisée peut être les illussions qu'il c'était fais de la Californir, ce n'était pas vraiment gentille. Mais la, elle en avait tellement marre de la vie qu'elle menais ici qu'elle n'en racontais que le mauvais côté.

Spencer ne se serait pas attendu à ce que le jeune femme, nommée Marissa, lui parle et se confie à lui, il lui avait proposé de l'écouter mais il ne se serait pas attendu à ce qu'elle lui dise tout ça. Il n'avait jamais eu l'habitude qu'on lui confie autant de choses, même si les gens lui faisaient naturellement confiance, ils savaient qu'ils pouvaient lui parler et lui raconter leurs misères puisqu'il n'avait personne à qui le répéter. Il eu un petit sourire en pensant à ça, il était l'exemple même du fameux dicton "muet comme une tombe".


J'ai l'habitude d'écouter les gens parler, je dois avoir une tête à ça il faut croire. dit-il avec un sourire en coin.

La jeune femme avait l'air vraiment bouleversée, Spencer la sentait perdue et seule, c'était sûrement à cause de cela qu'elle se confiait aussi facilement à lui. En écoutant la perception qu'elle avait de la Californie et de ses habitants, il devina qu'elle n'aimait pas sa vie et qu'elle rêvait de changer, peut être de partir d'ici.


Je comprends parfaitement ce que vous pouvez ressentir, mais si cette vie là ne vous plaît pas, si vous vous sentez etouffer vous pouvez décidez de changer. Vous êtes la seule à pouvoir le faire, si vous ne voulez plus de ce monde de superficialité, vous pouvez décider de le quitter, ce n'est pas à votre entourage de décider pour vous. Ayez juste confiance en vous.


Spencer ne voulait que l'aider mais il ne se sentait pas vraiment à sa place, ce n'était pas à lui de lui dire ça, elle devait le comprendre toute seule.


Je suis désolé, je n'avais pas à vous dire ça, cela ne me regarde pas.